On a toujours entendu parler de personnes handicapées mentales et physiques sans savoir réellement ce qu’on met dans chacun des cas. Pour éclairer votre lanterne, cet article aborde sommairement ces deux catégories de handicaps en apportant des clarifications à chaque niveau. Lisez donc !
Handicap mental : de quoi parle-t-on ?
D’entrée, retenez essentiellement que toutes les déficiences constituant des handicaps ne sont pas mentales. Par définition, un handicap mental est une déficience des fonctions mentales mais aussi intellectuelles. Celle-ci est à l’origine de l’incapacité de réflexion, de compréhension, etc., constatée chez une personne atteinte de ce handicap. Généralement, cela conduit à des problèmes de communication poussant le malade à avoir un comportement ou langage irraisonné. Cette situation peut être temporaire ou définitive. Étant donné que tout homme est un potentiel handicapé en devenir, le système juridique de chaque pays a pris des dispositions pour protéger les travailleurs de tous les secteurs. Par exemple en Espagne, il existe un répertoire de maladies considérées comme une invalidité permanente absolue. Comme vous allez le voir sur ce site, c’est sur la base dudit répertoire que s’appuie le tribunal médical pour déclarer une personne totalement invalide.
Handicap physique, zoom sur cette situation de dépendance
Généralement, le handicap physique concerne toutes formes de maladies qui peuvent affecter la motricité humaine. En un peu plus clair, il s’agit de la perte partielle ou totale de la capacité de mouvoir. Comme le handicap mental, il s’agit d’une situation de dépendance, que ce soit partielle ou totale. Une personne atteinte de handicap physique est sujet à une altération qui peut être substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques. Lorsque cela atteint un niveau très élevé d’invalidité chez le souffrant, le tribunal médical de le classe dans la catégorie des maladies considérées comme une invalidité permanente absolue. Ces clarifications sont importantes pour comprendre ces deux maux que l’on côtoie tous les jours mais qu’on ne maîtrise pas pour autant.